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https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Old_paper3.jpg

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54597098/f122.highres

https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Blank_paper_bearing_indentations.jpg

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/2/2a/Oorlogsgravenstichting_dossier_CC_Musch_02.jpg/640px-Oorlogsgravenstichting_dossier_CC_Musch_02.jpg

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9/02/1948

Division Préliminaire Détective

COMPTE-RENDU D'ENQUÊTE
(DD-S&L(SA)254)

STATUT DU DOSSIER :

FERMÉ


Ouvert

Document disponible en français & en anglais uniquement


I- Ouverture du dossier et éléments préliminaires

Suite à la fin de la Septième Guerre occulte, en date du ██/██/████, de nombreux responsables d'organisations coupables d'atteinte aggravée à la Normalité, d'instigations au conflit anormal et d'utilisations de Singularmes, furent arrêtés et placés en résidence surveillée, le temps que les partis de l'Initiative Occulte Alliée s'accordassent sur les dispositifs et principes nécessaires à leur procès.

Cependant, dans la nuit du 16/05/1947, l'un des inculpés, le Général de Raison Hubert Pommure, officier général de la Gendastrerie Nationale ayant collaboré avec Obskurakorps et responsable de nombreux pogromes sur le territoire français, disparut de son logement (situé à ████████), sans qu'aucune intrusion ou fuite ne fût détectée. Une rapide enquête ne permit de déterminer les circonstances d'une telle volatilisation. Afin de garantir la neutralité politique de l'enquête, celle-ci est confiée à la Division Préliminaire Détective de la Fondation SCP, le 19/05/1947. Les agents Chevalier et Chazaud sont envoyés sur place, classification en Rumeur tant qu'aucun autre élément ne vienne étayer l'affaire

II- Rapports de l'agent Chevalier envoyés sur place ci-joints


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19/05/1947

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Photographie du cas 1947-1

La résidence ayant rapidement été mise sous scellés, la scène n'a été que peu dérangée par des interventions extérieures. Aucune trace d'effraction n'est présente : les portes et les fenêtres sont intacts. Les forces de l’ordre présentes sur place lors de la disparition rapportent n’avoir rien vu ni entendu quoi que ce soit.

La chambre no 12, où a été aperçu l’individu pour la dernière fois, témoigne d’une scène de lutte : des objets sont renversés tandis que d’autres sont brisés, ayant probablement servi d’armes contondantes. Un chandelier notamment : retrouvé sur le parquet, celui-ci aurait dû alerter le service de sécurité dans sa chute, un rapide test réalisé par l’agent Chazaud a produit un vacarme épouvantable, suffisant pour être entendu de l’autre côté de la maison. Rien d’autre n’a été touché cependant : vêtements, nécessaire de toilette et nourriture sont encore présent. On notera aussi la présence de plusieurs objets personnels éparpillés dans la pièce : ceinture, boutons de manchette, portefeuille, montre notamment, éléments que l’individu aurait dû conserver.









Pommure.jpg


Tous ces éléments nous permettent d’envisager plusieurs pistes potentielles :

  • Hubert Pommure s’est enfui : Bien qu’il soit de notoriété publique que l’individu ne comptait plus beaucoup de soutiens, l’existence d’alliés inconnus des services de renseignements n’est pas à exclure. Il y aurait eu alors mise en scène d’un affrontement dans sa chambre, expliquant en parti ce chandelier ; voire des soutiens parmi le service de sécurité (bien que la piste d’une amnésie collective soit envisagée, une anomalie inconnue en étant à l’origine) : l’absence d’objets emportés pour la fuite étant comblée par des saisies dans les autres stocks de la résidence.
  • Hubert Pommure a été enlevé : Bien que sa localisation soit inconnue du public, les fuites ne sont pas exclues : nombreuses sont les personnes qui aimeraient sa tête. Une scène de lutte alors que l’individu cherchait à se défendre, associée à une anomalie rendant la pièce parfaitement silencieuse pourrait être une piste sensée.

Le prochain rapport, faute de matériel et de pistes, visera à répondre à deux questions :

  • Y a-t-il eu usage de l’anormal ?
  • Pourquoi ne pas avoir emporté les effets personnels ?


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20/05/1947

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Après un rapide aller-retour au site le plus proche, nous avons mis en place des appareils afin de répondre à la première question du rapport précédent. Les aiguilles n’ont cessé de tourniller : il y a eu une intense et récente utilisation d’anomalies. Cet enlèvement ou fuite est bel et bien de nature anormale.

Les effets personnels restés sur place ont été examinés : aucune anomalie détectée. Les seuls points communs les reliant sont leur appartenance à Hubert Pommure, ainsi que leur nature ferreuse.

Un autre passage de la pièce au peigne fin n’a rien révélé de plus, tandis qu’un interrogatoire croisé n’a montré aucun mensonge de la part du service de sécurité.

Le cas présent est donc bien de grade Manifestation : demande effectuée auprès du Département Scientifique afin de mandater une équipe qui étudiera plus en profondeur la scène.


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NOTE DES ARCHIVES DE LA FONDATION SCP


Par soucis de concision, 76 autres rapports semblables ont été omis. Afin de les consulter, veuillez contacter les Archives en précisant les dates et/ou les individus engagés des documents recherchés.


III- Compte-rendu d'enquête du 9 /02 /1948 et reclassification de 1947-1 à 77

77 disparitions, réparties sur presque un an, au modus operandi identique : sans que

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Test pour note des archives :

Pouet

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NOTE DES ARCHIVES DE LA FONDATION SCP


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